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Mis en place le 16 septembre 2019 par le ministre chargé de la Ville et du Logement ainsi que par l’Agence nationale pour l’information sur le logement (ANIL ; v. notre actualité : Logement indigne ? Appelez le 0806 706 806 !), le numéro « Info Logement indigne » a déjà traité 2 000 appels, soit plus de 60 appels par jour.
Un premier chiffre qui démontre l’intérêt du principe même du dispositif : « un numéro unique, un interlocuteur expert », selon le ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.
Les conseillers des ADIL (agence départementale pour l’information sur le logement) ont pu à la fois informer des locataires, victimes d’un marchand de sommeil ou d’un logement insalubre, prendre le signalement de personnes ayant connaissance d’une telle situation ou encore renseigner des propriétaires en recherche d’informations sur les obligations et aides disponibles.
Dans un communiqué du 29 octobre, l’ANIL précise que les appels proviennent essentiellement :
Il est précisé qu’un pic très net d’appels a été enregistré la première semaine, au moment de la médiatisation du numéro non surtaxé (prix d’un appel local). Ce phénomène démontre donc l’importance de faire connaître ce numéro au plus grand nombre et, en premier lieu, au grand public.
2 000
Public - Public
30/10/2019
C’est le nombre d’appels traités par la plateforme « Info Logement Indigne » à peine plus de un mois après son lancement par Julien Denormandie.
Un premier chiffre qui démontre l’intérêt du principe même du dispositif : « un numéro unique, un interlocuteur expert », selon le ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.
Les conseillers des ADIL (agence départementale pour l’information sur le logement) ont pu à la fois informer des locataires, victimes d’un marchand de sommeil ou d’un logement insalubre, prendre le signalement de personnes ayant connaissance d’une telle situation ou encore renseigner des propriétaires en recherche d’informations sur les obligations et aides disponibles.
Dans un communiqué du 29 octobre, l’ANIL précise que les appels proviennent essentiellement :
- d’ÎIe-de France (18,55%),
- de PACA (13,11%),
- des Hauts de France (9,64%),
- de Guadeloupe (3,21%).
Il est précisé qu’un pic très net d’appels a été enregistré la première semaine, au moment de la médiatisation du numéro non surtaxé (prix d’un appel local). Ce phénomène démontre donc l’importance de faire connaître ce numéro au plus grand nombre et, en premier lieu, au grand public.